Personne n'a les moyens de savoir si Hollande a exprimé son mépris pour les plus pauvres aussi cyniquement que Valérie Trierweiler le relate. Que « les sans-dents », cette formule abjecte, soit de lui ou pas n'est pas le problème.
De toute façon, son mépris pour les travailleurs est inscrit dans sa politique. Et quand, pour se défendre, Hollande affirme que « la raison d'être de sa vie » est « de servir les plus pauvres », il se moque du monde.
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Un mépris de classe que la bourgeoisie et ses politiciens paieront