Le cri du cœur d’une macroniste01/02/20232023Journal/medias/journalnumero/images/2023/02/2844.jpg.445x577_q85_box-0%2C104%2C1383%2C1896_crop_detail.jpg

retraites

Le cri du cœur d’une macroniste

Pour Claire Guichard, députée macroniste des Hauts-de-Seine suppléante de Gabriel Attal, les AESH (accompagnants des élèves en situation de handicap) sont des femmes « qui ont choisi leur statut pour avoir les mercredis et les vacances scolaires », d’ailleurs celles qu’elle connaît « assument, elles sont heureuses de leur choix ».

À l’en croire, travailler à temps partiel imposé, en ayant un statut précaire et un salaire dépassant rarement 800 euros par mois, serait presque un privilège. Seule une bourgeoise du type dame patronnesse peut proférer de telles énormités !

Même si, devant le tollé que cette déclaration a soulevé, Claire Guichard est revenue en arrière, le mal était fait. Comme la plupart de ses collègues de la bande à Macron, elle transpire par chaque pore le mépris des travailleurs, et elle n’a pu s’empêcher de le faire savoir.

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