Hollande et Sarkozy restent seuls en lice pour le deuxième tour, avec Hollande donné gagnant.
« Étendre le rassemblement à tous les républicains qui ne veulent plus de Nicolas Sarkozy », affirme l'état-major de Hollande, en visant l'électorat centriste. L'opération de séduction est facilitée par Mélenchon qui insiste, de son côté, sur le fait qu'il ne demandera « rien en échange » pour son soutien à Hollande. Histoire de rassurer l'électorat centriste sur le fait qu'il ne fallait pas prendre au sérieux ses envolées contre la finance ou la demande d'augmentation des salaires et d'un smic à 1 700 euros. Non, Mélenchon ne demande rien à Hollande, pas plus que le PCF qui est derrière lui !
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Le rapport de forces avec le patronat dépend de nos luttes, pas des urnes