Le tueur de Nice était-il un déséquilibré aux pulsions morbides ou un radicalisé de fraîche date ? S’est-il réellement inspiré des appels au meurtre du groupe État islamique ? On ne le saura peut-être jamais et cela ne change rien.
Qu’il l’ait voulu ou non, son acte a pris une signification politique parce que foncer dans une foule, écraser enfants, femmes et hommes en voulant faire le plus de morts possible, correspond à la politique voulue par Daech qui a d’ailleurs fini par revendiquer l’attentat.