« Les Ukrainiens [...] ont beaucoup de pertes et donc des besoins en permanence. Il y a une réelle opportunité pour les industriels français », explique le journal patronal L’usine nouvelle sous le titre « Les entreprises françaises se positionnent pour participer à la reconstruction de l’Ukraine ». Et le journaliste d’estimer la manne financière de la reconstruction en question à 350 milliards d’euros.

Certains capitalistes, comme Dassault, gagnent des milliards en vendant des engins de mort et se frottent les mains à chaque bombe qui explose. D’autres, comme ­Total, profitent de la guerre pour spéculer sur le prix de l’énergie. Et d’autres encore espèrent que la guerre sera très destructrice pour vendre du béton et des matériaux de construction.

Pour le profit capitaliste, tout est bon, y ­compris le sang.