Carrefour, Monoprix, Arkema, PSA Stellantis, sous-traitants de l’aéronautique ou de l’automobile…, les travailleurs qui contestent leurs salaires bloqués alors que les prix flambent sont nombreux. Et, comme tout le monde a pu le constater, la mobilisation touche désormais les raffineries.
Ces mouvements sont-ils les hirondelles qui annoncent le printemps ? Il faut le souhaiter, car la lutte collective est le seul moyen de préserver nos conditions d’existence face à la flambée des prix.