Une nouvelle tempête financière secoue l'économie capitaliste mondiale. Après plusieurs semaines de hausse, les actions en Bourse se sont mises à baisser, le taux de change entre monnaies fait le yoyo et les titres représentant les dettes des États s'affolent. Et tout cela, alors que ministres et commentateurs s'époumonent à affirmer que la crise était en passe de se terminer.
Cela était de toute façon un mensonge, car les licenciements et les fermetures d'entreprises n'ont jamais cessé, signe que l'économie productive, celle qui crée les biens matériels, celle qui compte, n'avait pas du tout repris.