Même si le virus circule plus lentement qu’en mars, les contaminations sont, chaque jour, plus nombreuses. Autrement dit, l’épidémie est, de nouveau, hors de contrôle. Il est impossible de tester, tracer et isoler comme il le faudrait. Impossible aussi de dire où se font les contaminations. Et comme les hôpitaux sont incapables d’encaisser une nouvelle vague, même moins haute que la première, on ne peut qu’être très inquiet. Mis à part cela, le gouvernement estime bien gérer la crise sanitaire !
C’est pire encore pour ce qui est de la crise économique, car là il n’y aura pas de médecins ni de scientifiques pour nous en sortir, il n’y aura ni traitement ni vaccin.