État policier : le règne de l’arbitraire24/07/20242024Brèves/medias/breve/images/2024/07/Prison_Edouard_Hue.jpg.420x236_q85_box-0%2C35%2C640%2C394_crop_detail.jpg

Leur société

État policier : le règne de l’arbitraire

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crédit : Edouard Hue

Dans le cadre de la sécurisation des JO, le ministère de l’Intérieur a multiplié les assignations à résidence de « suspects ». Pourtant, un certain nombre de ces 155 personnes n’ont pas de casier judiciaire, n’ont jamais été poursuivis ni condamnés. L’un d’entre eux a été empêché de partir en vacances avec sa famille, un autre a perdu son travail dans un aéroport pour avoir défendu, en tant que délégué du personnel, un travailleur soupçonné de radicalisation.

Au nom de la lutte contre le terrorisme, l’État a renforcé ces dernières années tout un arsenal de mesures répressives, qui servent contre de simples travailleurs.

 

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