- Contre le chaos de l’impérialisme en putréfaction, le programme de lutte de la classe ouvrière ;

- Les relations internationales ;

- La situation intérieure ;

- Motion : Notre participation aux élections européennes.

Le premier texte avait été publié dans Lutte de classe (numéro 194, septembre-octobre 2018), et nous ne le republions pas ici. Nous publions en revanche ci-après les trois autres textes. Ces quatre textes ont été adoptés à l’unanimité, ce qui témoigne de la cohésion politique de notre courant.

Le texte sur la situation intérieure était antérieur au mouvement des gilets jaunes, et il l’évoquait à peine. En revanche, une grande partie des discussions ont tourné autour de ce mouvement et des tâches des révolutionnaires dans cette situation nouvelle. Nous avons adapté une partie de cette discussion en éditorial de ce numéro (« Les révolutionnaires et le mouvement des gilets jaunes »). Nous avons également reproduit ci-dessous des extraits des discussions et des conclusions du congrès.

Par ailleurs, le congrès a entendu les comptes-rendus de groupes invités, liés à Lutte ouvrière au sein de l’Union communiste internationaliste (trotskyste), et qui militent en Martinique et en Guadeloupe, à l’île de La Réunion, en Haïti, en Côte d’Ivoire, aux États-Unis, en Turquie, en Allemagne, Grande-Bretagne, Belgique, Espagne et Italie. Nous reproduisons ci-après de larges extraits de leurs interventions.

Enfin, le congrès a élu les organes de direction de Lutte ouvrière : comité central et comité exécutif. Mardi 11 décembre, notre porte-parole Nathalie Arthaud a tenu une conférence de presse pour évoquer les principales décisions de notre congrès. Notre hebdomadaire Lutte ouvrière en a rendu compte dans son no 2628 (14 décembre), et nos lecteurs peuvent également en visionner des extraits sur notre site Internet (rubrique Multimédia).

14 décembre 2018