Manuel Valls a passé trois jours en Chine fin janvier pour faire la promotion de l'industrie nationale.

Le résultat est resté très limité, même si quelques contrats ont bien été signés avec Thales, Air liquide, GDF Suez ou EDF. Les dirigeants chinois sont manifestement durs en affaires.

Pourtant, Valls n'a pas ménagé ses efforts pour séduire les investisseurs chinois. Il leur a vanté « une fiscalité stable, une réglementation simplifiée, un marché du travail attractif ». Il a ajouté : « L'image selon laquelle la France ne réforme pas son marché du travail et qu'il est impossible de licencier est une image fausse. »

Et la fameuse « image sociale » du pays alors ? Elle est bidon, et c'est Valls qui vous le dit.