La semaine dernière, le gouvernement se vantait d’avoir mis fin à la situation indigne des migrants de Calais. Une partie d’entre eux se retrouvent aujourd’hui dans des centres d’accueil où la population locale leur apporte souvent une aide chaleureuse, faisant preuve de l’humanité qui fait défaut à ceux qui nous gouvernent. Mais d’autres restent à Calais, harcelés par la police. Et 2 000 ou 3 000 d’entre eux campent à Paris en pleine rue, dans des abris de fortune, sous menace d’expulsion.Le démantèlement de la « jungle »...
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