Les présents ne se disaient pas hostiles à la vaccination mais au passe sanitaire et à l’obligation pour le personnel soignant d’être vacciné.

De plus, les soignants s’inquiétaient de la suite de la gestion de crise, notamment en cas de refus de se faire vacciner de leur part. Ils craignent des sanctions pouvant aller jusqu’au licenciement. D’autres regrettaient la division entretenue dans les services entre les vaccinés et les non-vaccinés. Dresser les travailleurs les uns contre les autres, tout en continuant à fermer des lits et à aggraver les conditions de travail, est l’un des buts du gouvernement.

L’obligation qu’il faut imposer est celle d’embaucher le personnel qui manque dans les hôpitaux et de rouvrir les lits qui ont été fermés depuis des années.