Sur les places publiques, dans les quartiers populaires ou devant les entreprises des villes parcourues par les caravanes qu’ils organisent durant l’été, les militants de Lutte ouvrière cherchent à discuter de la situation sociale et politique.

Il y a la dégradation des conditions de vie. Il y a aussi la barbarie dans laquelle le capitalisme enfonce la société, comme l’ont rappelé les attentats de Nice et de Saint-Étienne-du-Rouvray. Et ce sont les mêmes qui nous exploitent ici et qui mettent le monde à feu et à sang pour leurs profits.

Durant les quatre mois de mobilisation contre la loi El Khomri, les travailleurs ont commencé à relever la tête. Comment continuer à faire entendre le camp des travailleurs et agir pour que renaisse au sein du monde du travail un courant communiste révolutionnaire, voilà ce qu’il est nécessaire de discuter en ce moment.