Un chapelain de la basilique de Fourvière à Lyon a osé écrire dans une revue catholique que l’avortement était pire que les attentats de Paris. Dans son délire haineux, il a ajouté que les victimes du Bataclan étaient responsables de leur sort car, en écoutant du hard rock, elles se seraient livrées au diable.

Gêné par ces propos, le cardinal Barbarin, patron de l’église lyonnaise, s’est dit consterné. Mais il récolte ce qu’il a semé, tant ses propres prises de position, contre le mariage pour tous ou contre l’avortement, sont réactionnaires et encouragent ce genre de discours.