Contrairement à ce qu'affirmait Le Parisien du 29 juillet, il n'y aurait pas de nouvelles poursuites judiciaires contre Sarkozy, pour des irrégularités dans ses comptes de campagne en 2007. Le Parquet de Paris a démenti l'information.

L'ex-locataire de l'Élysée devra attendre d'autres casseroles pour étoffer sa panoplie d'ustensiles ménagers.

Même s'il semble se sortir d'un nouveau guêpier judiciaire, il ne doit guère apprécier cet éclairage douteux de son passé politique, tout comme il aurait sans doute préféré plus de discrétion sur la conférence d'une heure qu'il a donnée en Afrique pour la modique somme de 100 000 euros. Rien d'illégal, mais quelque chose de choquant venant d'un champion de la rigueur salariale... pour les salariés.

Ce ne sont pourtant pas les projecteurs médiatiques qui l'embarrassent. On l'a montré, ces jours derniers, dans de nombreux médias. À scooter, par exemple, avec sa dulcinée, sans casque, ce qui est une infraction, une de plus. Il préparerait ainsi sa rentrée politique. Comme s'il n'en était jamais sorti.

Candidat insatiable et présumé filou de haut vol, cela n'a rien d'incompatible. Le fait qu'il ne soit pas le seul n'est pas rassurant.