L'UMP doit se serrer la ceinture : Des « pauvres » pas à plaindre25/07/20132013Journal/medias/journalnumero/images/2013/07/une2347.jpg.445x577_q85_box-0%2C104%2C1383%2C1896_crop_detail.jpg

Leur société

L'UMP doit se serrer la ceinture : Des « pauvres » pas à plaindre

« On se serre la ceinture à tous les étages ». « Plus aucune embauche n'a lieu et les départs ne sont pas remplacés ». « On doit faire aussi bien avec peu de moyens ». Les temps sont désormais durs à l'UMP.

Avec un budget annuel réduit de 54 à 35 millions d'euros, et après l'ardoise de 11 millions d'euros qu'a laissée Sarkozy en dépassant le plafond de dépenses autorisées pour sa dernière campagne électorale présidentielle, l'heure est aux économies.

Pauvres cadres de l'UMP, qui doivent prendre le train en seconde classe et non en première. Et pauvre François Copé, qui a dû troquer sa Citroën C6 de président de l'UMP contre une C5 ! « Moi, j'ai connu une époque où on rentrait en avion Falcon. C'est révolu tout ça. », se plaint Brice Hortefeux, ex-ministre de l'Intérieur de Sarkozy.

Il paraît que l'UMP reçoit des chèques de soutien, y compris de nombreux dons de 7 500 euros, le montant maximal autorisé. Sarkozy et ses proches sont loin d'être sur la paille, et les leaders de l'UMP n'en sont pas à déployer leurs tentes Quechua le long du canal Saint-Martin.

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