Dans son discours en multiplex du dimanche 29 avril, Sarkozy a répété plus de cinquante fois le mot « frontières » qu'il propose de renforcer tout en divisant par deux l'immigration légale. C'est le refrain xénophobe qu'il ressort dans sa chasse éperdue à l'électeur lepéniste.

Il veut aussi « poser des limites aux spéculateurs » qui eux non plus ne connaissent pas de frontières, en renforçant les frontières... morales. En brandissant un crucifix ?

Les banquiers doivent en trembler d'effroi !