Sarkozy et Gandrange : Personne n'a oublié07/03/20122012Journal/medias/journalnumero/images/2012/03/une-2275.gif.445x577_q85_box-0%2C10%2C169%2C230_crop_detail.png

Dans les entreprises

Sarkozy et Gandrange : Personne n'a oublié

Le 1er mars Sarkozy a affirmé sans frémir que, concernant l'usine sidérurgique de Gandrange, « toutes les promesses avaient été tenues » et que les 571 travailleurs avaient été reclassés.

Nombre de travailleurs ont été effectivement reclassés, mais à Fleurange, usine aujourd'hui menacée. Pour le reste, Sarkozy a bel et bien menti. Pour preuve, le discours tenu devant les sidérurgistes de Gandrange le 4 février 2008, dans lequel il affirmait que l'État investirait, avec Mittal ou avec un repreneur, pour que l'usine reste ouverte. Il avait même ajouté qu'il reviendrait sur le site pour voir comment cela se passait.

Un an après Gandrange fermait, et Sarkozy n'a pas pris le risque de revenir sur les lieux.

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