Ségolène Royal a déposé à l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) plusieurs mots et expressions, tels que « espoir à gauche », « fête de la fraternité », « université populaire participative », etc. Elle les considère comme sa propriété, au même titre qu'une marque de vêtements.

Elle dit vouloir éviter que d'autres politiciens, ou des organismes « peu scrupuleux » ne les reprennent à leur compte. Si l'INPI décide d'enregistrer sa demande, elle aurait alors la possibilité de poursuivre en justice quiconque utiliserait ces formules et de demander des dommages et intérêts.

À ce jour, elle n'aurait pas encore déposé les mots « mégalomanie » ou... « ridicule ».