Acte I : un groupe d'indépendantistes corses manifestent en occupant pendant une heure le jardin de la villa du comédien Christian Clavier, située dans un quartier ultra-chic de Porto-Vecchio, dans le but de dénoncer ce qu'ils nomment la " spoliation foncière " des Corses par les non-Corses.

Acte II : le responsable local de la police et de la gendarmerie, " coordinateur des forces de sécurité intérieure ", ne décide pas d'envoyer des hélicoptères de combat et ne mobilise pas le GIGN et ses tireurs d'élite face à cette démonstration dans la propriété de l'ami de Sarkozy.

Acte III : la ministre de l'Intérieur limoge l'intéressé (M. Rossi, pas Clavier) et le mute à l'IGPN, la police des polices. " Il n'est pas question que tu payes pour notre amitié " aurait assuré en toute simplicité le président à l'acteur.

Après " Touche pas au scooter de mon fils ", où l'on a vu une demande de recherche d'ADN lancée après la disparition du deux-roues du fils-à-Papa, s'agit-il de la saison 2, intitulée, " Touche pas à l'herbe de la villa de mon pote ? "