Un citoyen italien a porté plainte contre le curé de son village qui avait relaté quelques épisodes de la vie de Jésus dans son bulletin paroissial. Il l'a attaqué pour "abus de crédulité populaire", délit puni par la loi italienne.

La propagation des superstitions devrait être en effet condamnée, et le fait que celles-ci soient vieilles de deux mille ans ne peut pas être considéré comme une circonstance atténuante.

Mais par ailleurs nous n'aurons pas la crédulité de nous fier à la vertu des tribunaux pour faire reculer la superstition religieuse propagée par tout l'appareil de l'Église.

Galilée, en son temps, en avait fait l'expérience cuisante!