Depuis deux ans que la compagnie Air Lib a été liquidée, seulement 41% des salariés ont retrouvé un emploi stable. Pour les autres, c'est encore la galère : précarité ou chômage, avec les droits Assedic qui finissent bientôt.

À Toulouse, comme ailleurs, la cellule de reclassement, tant vantée par Gayssot et la Chambre de commerce et d'industrie, a fermé avec un bilan minable.

La solution, ce n'est pas les reclassements hypothétiques, c'est l'interdiction des licenciements.

Extrait du bulletin Lutte Ouvrière Aéroport de Toulouse Blagnac