A G2 et G4, ce week-end, c'était galère, une seule infirmière d'après-midi suite à l'arrêt imprévu d'une collègue. Les seules solutions proposées : décaler un peu les équipes, faire appel à d'autres services et en définitive laisser une infirmière seule pour faire face à un service d'urgences chargé.

La sécurité, l'accueil et le confort du patient, les responsables administratifs et médicaux s'en moquent ; par contre c'est l'équipe qui assume toute l'angoisse.

Si le moindre arrêt de travail provoque la catastrophe, c'est parce qu'on tourne perpétuellement en sous-effectif.