Dans les bulletins Lutte ouvrière

Mépris de classe

Farandou a annoncé la suppression de 2 000 à 3 000 postes cette année et aucune augmentation de salaire. En toute décontraction, il a tenu à dire que ce n’était « pas un drame ». Détendu, il peut l’être puisque ce n’est pas sur lui que pèsent ni le sous-effectif, ni le chômage.

Partager