Leur société

À Dieppe, les associations en difficulté

Les contrats aidés permettent d’embaucher des personnes qui accomplissent des tâches indispensables, comme le montre l’exemple d’associations de Dieppe, en Seine-Maritime.

Ainsi, à la Maison des jeunes de Neuville-lès-Dieppe, les points d’accueil dans ce quartier populaire et dans celui du Val-Druel ne peuvent être assurés que grâce à quatre contrats aidés. De même, à l’Archipel, le centre social du centre-ville, trois animateurs sont employés sous ce statut pour encadrer les activités du centre de loisirs des enfants.

La suppression de ces contrats aidés menace donc gravement la poursuite de services si utiles à la population, tout en renvoyant au chômage des travailleurs. Il ne serait que justice que ces contrats précaires soient transformés en emplois pérennes, avec des salaires décents, pour tous ceux qui souhaitent être maintenus dans leur activité. Tout à l’inverse de ce que fait ce gouvernement, qui préfère consacrer ses largesses au grand patronat.

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