Les Capet cupides26/09/20132013Journal/medias/journalnumero/images/2013/09/une2356.jpg.445x577_q85_box-0%2C104%2C1383%2C1896_crop_detail.jpg

Leur société

Les Capet cupides

Un jugement cocasse vient d'être prononcé par les tribunaux. Le ci-devant comte de Paris, dernier héritier du roi Louis-Philippe, avait disposé selon son bon plaisir de ses quelque 400 millions de biens, les léguant à une fondation amie. Ses enfants ont fait appel aux lois républicaines pour les récupérer. La justice a tranché, laissant à la fondation des châteaux et des chapelles, ne rendant aux héritiers qu'une partie des biens, estimée quand même par leur avocat à plusieurs dizaines de millions d'euros. Le tribunal a appliqué le droit bourgeois qui protège l'héritage.

Dans la famille Capet, comme dans toutes les familles à pognon, ce n'est pas le tout d'avoir les yeux de son père et le nez de son grand-père : il faut surtout avoir leurs picaillons.

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