ERS : Quand Chatel met les moyens15/09/20102010Journal/medias/journalnumero/images/2010/09/une2198.jpg.445x577_q85_box-0%2C104%2C1383%2C1896_crop_detail.jpg

Leur société

ERS : Quand Chatel met les moyens

Le ministre vient d'inaugurer à Nice un internat nouveau genre, un établissement de réinsertion scolaire, destiné aux élèves « particulièrement perturbateurs mais non délinquants » ayant fait l'objet de plusieurs exclusions de collèges standards.

Accompagné de son collègue Estrosi, maire de Nice, Luc Chatel a évoqué la création d'une vingtaine d'autres ERS, qualifiés de « maillons manquants » dans la chaîne de l'Éducation nationale, censés permettre à ces collégiens agités de reprendre le chemin de l'école.

Encadrés par six professeurs, quatre assistants d'éducation et deux éducateurs, les treize jeunes courent en effet peu de risque de manquer d'aide de la part des adultes. Et on ne peut que souhaiter que leur réinsertion soit assurée.

En tout cas la preuve est faite que, lorsque le ministère veut réussir à instruire des jeunes, même si c'est pour le communiqué, il sait comment procéder et quels moyens il faut mettre en oeuvre.

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