Quand Chirac et ses ministres parlaient de baisses d'impôts, c'était pour les riches, cela va de soi.

Cependant, une autre injustice fiscale s'accroît. Le Syndicat national unifié des impôts vient de révéler que si les contrôles sur les déclarations des particuliers -et les redressements qui en découlent- augmentent, ceux sur les déclarations des sociétés diminuent. Ainsi, en 2004, le montant des rappels d'impôts sur les bénéfices des sociétés a baissé de 12,3% tandis que celui des rappels d'impôts sur le revenu a progressé de 10,4%.

"Pas touche aux plus riches", c'est la devise du gouvernement.