L'intervention au Mali : L'armée française, vigile des intérêts d'Areva30/01/20132013Journal/medias/journalnumero/images/2013/02/une2322.jpg.445x577_q85_box-0%2C104%2C1383%2C1896_crop_detail.jpg

Dans le monde

L'intervention au Mali : L'armée française, vigile des intérêts d'Areva

Le gouvernement a décidé de faire protéger par les forces spéciales de l'armée française les mines d'uranium d'Arlit et Imouraren exploitées par Areva au Niger, pays mitoyen du Mali. Fillon et Sarkozy avaient refusé de le faire, mais Ayrault et Hollande viennent d'accepter, considérant que les risques seraient plus importants aujourd'hui, après le déclenchement de l'opération Serval. La prise d'otages à In Amenas en Algérie et la tentative manquée de libérer un espion français otage en Somalie feraient craindre, selon le gouvernement, une recrudescence de ce type d'actions.

Le gouvernement français, comme tous les gouvernements, a pour charge de défendre les intérêts des industriels et des banquiers. Et dans cette tâche, il ne connaît pas les frontières.

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